En dehors de sa prédilection pour la sculpture, José n’a jamais abandonné son goût pour la musique ni son insatiable curiosité du monde, dont la littérature, et, d’une manière plus émotionnelle, la poésie, pour laquelle il avait une affinité particulière.
Sa première exposition à Paris Galerie Cahier d’Art, parrainée par René Char qui avait donné un titre à chacune des oeuvres exposées, marquant le début de leur amitié, est à l’origine du projet de pratiquer la xylogravure pour la réalisation d’un recueil de ses poèmes par les éditions cahier d’Art avec Christian Zervos.